La carnosine est un nutriment naturel de l’organisme dont la production diminue avec l’âge.

C’est un antioxydant majeur qui joue un rôle important dans notre santé en général.

Elle combat les changements dus au vieillissement de la peau, du cerveau, des muscles et autres tissus. Elle a fait l’objet de nombreuses études scientifiques élaborées.

Les bienfaits du patch Carnosine

Protège l’élastine et le collagène
Accélère la cicatrisation des blessures par la réparation des tissus conjonctifs (cartilage, tendons, ligaments)
Protège l’ADN
Ralentit la dégénérescence des cellules du cerveau (protège le cerveau de la formation de plaque, une des causes de la maladie d’Alzheimer)
Améliore les performances sportives par la prévention de la fabrication d’acide lactique
Renforce la masse musculaire
Transforme les cellules jeunes en cellules saines
Aide à réduire l’apparition des rides et ridules lorsqu’il est pris conjointement avec le patch Y-age Glutathion et le patch Y-age Aeon

24 h après la pose du patch Carnosine, il a été constaté une augmentation de 50% du taux de carnosine dans le sang. Tout comme le patch Glutathion, il n’apporte pas la molécule mais incite l’organisme à la fabriquer en quantité suffisante sans aucun risque de surdosage.

La carnosine pourquoi ?

Une étude menée par Lifewave sur 20 sujets démontrait que le patch Carnosine porté 12H un jour sur deux, améliore significativement l’état fonctionnel, physiologique et cellulaire de différents organes : pancréas, foie, rein droit, glandes surrénales, droite et gauche, hypothalamus, hypophyse et thyroïde, le tout accompagné d’une énergie statique moyenne d’au moins 95%.

Des études russes de 1999 ont testé les effets de la carnosine sur l’espérance de vie et les indicateurs de vieillissement des souris. Les résultats de cette étude se sont révélés probants, et les chercheurs ont alors pu conclure que «les animaux traités à la carnosine peuvent être définis comme plus résistants au développement des signes de vieillissement».

Pour plus d’informations sur cette étude, consultez le document ci-dessous :

www.bioscirep.ORG/BSR/019/0589/0190581.pdf